Pas le temps de dire Bonjour, ni dâadmirer la boutique, une vendeuse cerbĂšre vous saute dessus pour 1 biscuit pas selon votre envie non celui la ou rien. Elle tente de nous orienter vers les minis fourrĂ©s sous argument quâils se conservent plus longtemps : jâen dĂ©duis que câest le stock Ă Ă©couler du moment. Mais dĂ©solĂ© ce sont les gros non fourrĂ©s qui nous intĂ©ressent. On rempli une boite (gratuite pour lâachat de 1 kilo) dans le sens de la dame . Ne vous avisez pas de cheminer avec fantaisie, le cerbĂšre vous ramĂšne a son pied . Dommage nous aurions bien butinĂ© dans les rayons et sans doute achetĂ© davantage mais lâaccueil nous a coupĂ© lâenvie !